d'hier et d'aujourd'hui
et leurs frères d'armes
Constitué en août 1940 à Azilal, le 1er Tabor comprend à l’origine les 108e, 111e et 147e goums de marche, devenus le 1er septembre 1940 les 58e, 59e et 60e goums.
Formé des 47e, 58e, 59e et 60e goums, il participe avec le 2e GTM à la campagne de Tunisie. Le 47e goum passe au 15e Tabor en cours de campagne, en mars 1943.
Formé d’un goum de commandement et d’engins de tabor (GCE), des 58e, 59e et 60e goums, il participe avec le 2e GTM aux campagnes de Corse, Ile d’Elbe, France et Allemagne.
Après la dissolution du 2e GTM, le 1er mai 1946, il devient le « Tabor de tradition » de ce GTM.
Formé d’un goum de commandement et d’appui de tabor (GCAT), des 58e, 59e et 60e goums, il effectue un séjour au Tonkin, du 13 juin 1950 au 10 avril 1952. Le 59e goum, dissous en novembre 1950 après les combats de la RC 4, est remplacé par le 20e goum le 1er mai 1951.
Reconstitué à N’kheila à son retour d’Indochine avec les 20e, 47e (ex 58e), 60e, 18e (en 1953), 27e (jusqu’à août 1955), 29e (à/c octobre 1955) goums, ses unités sont engagées d’octobre 1952 à décembre 1955 dans de nombreuses opérations de maintien de l’ordre au Maroc, dans les régions de Casablanca, de Fez et de Taza (Oued Zem et Boujad après les événements du 20 août 1955, région d’Immouzzer des Marmoucha et Meghraoua après ceux du 1er octobre 1955, dans le Rif autour de Dar Caïd Medboh en décembre 1955).
Aux couleurs du ruban de la Croix de Guerre TOE (pour le théâtre de l'Indochine)